Détruire le fascisme islamique
From The Art and Popular Culture Encyclopedia
"Du Maroc à l'Arabie Saoudite, les peines vont de la prison ferme à la peine capitale, le fouet ou le lynchage populaire. Ceux qui ont en fait les frais ne se comptent plus, de Salman Rushdie, à Raef Badawi, en passant par Nawal al-Saadawi, Tasleema Nasreen, Boualem Sansal, Kamel Daoud, Waleed al-Husseini, Cheikh Mohamed Ould El Mkheitir, Ayan Hirsi Ali, Nahed Hattar ... Lorsqu'ils n'ont pas été assassinés, ils ont tous été apostasiés. Ils ont dû s'exiler ou se cacher, ils ont connu la prison, la torture et l'exclusion sociale." --Détruire le fascisme islamique (2016), Zineb El Rhazoui |
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Détruire le fascisme islamique (2016) is a book by Zineb El Rhazoui.
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Quotes
En attendant de faire de l'islamophobie une arme juridique pour museler toute critique à son égard, l'islamisme continue de faire comme si l'Islam n'avait aucune raison de faire peur. Il prétend que les terroristes ignorent le "vrai" islam, une "religion de paix et d'amour". Si vous le croyez, c'est vous qui êtes ignorant de l'islam, de son hégémonisme et de son caractère intrinsèquement politique. C'est vous qui ignorez que pour le prophète et ses compagnons, le monde se divise en deux : Dar ul-Islam, la maison de l'islam, et Dar ul-Harb, la maison de la guerre. C'est vous qui, pour échapper à l'accusation de racisme, encensez les Lumières en Occident et les déniez à l'Islam.
Seul un totalitarisme peut garder pendant des siècles un secret aussi lourd que la Sîra de Mahomet. Ceux qui ont osé effleurer le personnage en France en sont morts. Quant à ceux qui vivent sous le joug de l'Islam depuis toujours, ils ont intériorisé au fil des générations cette peur diffuse du châtiment céleste et terrestre. Une religion de paix et d'amour ? Même les musulmans n'en croient pas un mot, car ils savent au fond d'eux qu'ils n'aiment pas Dieu, mais qu'ils le craignent. Islam signifie soumission, et cette soumission s'est très largement faite par la terreur.
Du Maroc à l'Arabie Saoudite, les peines vont de la prison ferme à la peine capitale, le fouet ou le lynchage populaire. Ceux qui ont en fait les frais ne se comptent plus, de Salman Rushdie, à Raef Badawi, en passant par Nawal al-Saadawi, Tasleema Nasreen, Boualem Sansal, Kamel Daoud, Waleed al-Husseini, Cheikh Mohamed Ould El Mkheitir, Ayan Hirsi Ali, Nahed Hattar... Lorsqu'ils n'ont pas été assassinés, ils ont tous été apostasiés. Ils ont dû s'exiler ou se cacher, ils ont connu la prison, la torture et l'exclusion sociale.
Si l'islam n'est qu'une religion comme les autres, sa critique ne doit pas plus susciter d'accusation d'islamophobie que celle du christianisme une accusation de "christianophobie", donc un racisme supposé anti "race" chrétienne.